Apprenez-en plus sur un membre de notre équipe. Mettez un nom sur l’un des visages de la Communauté métropolitaine de Québec! Nous vous présentons Charles-Éric Bernier, directeur de l'environnement.
Charles-Éric est sans contredit une personne dédiée et même portée par son travail. Son pouvoir de rassembler et concerter les gens autour d’un enjeu est un atout majeur pour notre organisation. Son enthousiasme est contagieux!
Racontez-nous votre cheminement professionnel, d’hier à aujourd’hui.
J’ai toujours été une personne passionnée par l’histoire et la géographie! Dans ce contexte, après un baccalauréat en géographie et une maîtrise en aménagement du territoire et développement régional à l’Université Laval, j’ai amorcé ma carrière comme aménagiste-géographe chez GENIVAR/WSP. En 2014, j’ai rejoint la CMQuébec comme conseiller en aménagement du territoire et en environnement, où j’ai eu la chance de contribuer à plusieurs projets structurants en collaboration avec les municipalités de la région.
En 2020, j’ai été nommé directeur de l’environnement, un rôle où je peux développer et mettre en œuvre des stratégies ambitieuses notamment pour la gestion des matières résiduelles, la protection de l’eau et la conservation des milieux naturels.
Qu’est-ce que vous vouliez faire comme métier quand vous étiez jeune ?
Quand j’étais enfant, je voulais être éboueur ! J’étais fasciné par les camions de collecte des matières résiduelles, notamment ceux avec des fourches à l’avant. À mes yeux, c’était un métier concret qui te permettait de conduire un gros camion. Il faut croire que cette fascination pour la gestion des matières résiduelles ne m’a jamais vraiment quitté : aujourd’hui, je travaille sur des enjeux directement liés à la gestion des matières résiduelles à travers le Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles (PMGMR).
Quelle est votre plus grande réalisation ?
Sur le plan professionnel, je dirais que de recevoir en 2024 le Prix Barb Hodgins du meilleur professionnel, décerné par L’Alliance des villes des Grands Lacs et du Saint-Laurent, a été une grande fierté. Ce prix vient récompenser des années de travail et d’engagement pour des projets concrets qui ont un impact positif sur l’environnement. Mon adhésion à l’Ordre des urbanistes en 2014 représente également un moment fort de ma carrière.
Que préférez-vous dans votre travail ?
Les relations humaines et le rythme : à chaque heure, il y a un dossier différent, une tâche différente à faire ou encore, une personne différente avec qui parler. J’apprécie particulièrement le travail de concertation avec les municipalités, les organismes environnementaux et les instances gouvernementales. Chaque projet est une occasion de trouver des solutions adaptées aux réalités locales. Finalement, je pense que nous aussi avons la possibilité de faire une réelle différence pour le territoire et les générations futures.
Si vous pouviez dîner avec n’importe qui, mort ou vivant, ce serait qui ?
Sans hésitation, Tiger Woods. Son approche du jeu, son éthique de travail et sa manière de rebondir après les défis sont des sources d’inspiration, non seulement pour le golf, mais pour n’importe quel domaine où l’excellence et la constance sont essentielles. J’adorerais discuter avec lui de sa mentalité de gagnant, de sa capacité à performer sous pression et de sa discipline hors du commun. Et, bien sûr, ce serait l’occasion idéale pour lui soutirer quelques conseils sur mon propre jeu de golf !
Votre projet coup de cœur ?
Sans aucun doute la mise en place d’une Vision métropolitaine de l’eau en 2019. Le projet a permis de démontrer tout notre savoir-faire en matière de concertation. Il a joué un rôle clé dans le développement de nouvelles relations de travail avec nos partenaires, en rassemblant des municipalités, des organismes environnementaux et des acteurs gouvernementaux autour d’une même vision. C’est un bel exemple de ce que l’on peut accomplir lorsque l’on mise sur la collaboration et la concertation pour relever les défis de notre région.
Quelle a été votre première impression de la CMQuébec lors de votre première journée de travail ? A-t-elle changé depuis ?
Dès mon arrivée, j’ai toujours été vraiment impressionné par l’intelligence et le talent des personnes qui travaillent à la CMQuébec. Le fait de pouvoir compter sur de telles ressources est assurément l’une des clés du succès de notre organisation. La CMQuébec regroupe des personnes passionnées qui ont à cœur le développement harmonieux du territoire métropolitain. Avec le temps, cette impression s’est renforcée. L’organisation a évolué, tout comme les défis auxquels elle fait face, mais l’engagement et la volonté d’innover sont toujours présents.
Qu’est-ce qui vous passionne en dehors du travail ?
Je suis un passionné de sports, et cette passion est d’ailleurs partagée avec mes trois garçons ! Le hockey occupe une place particulière dans ma vie, autant sur la glace que dans les discussions familiales. Il n’y a rien de mieux que de partager cette passion avec mes fils. En dehors du hockey, j’adore aussi le golf, le deck hockey et, plus généralement, tous les sports où ça bouge ! Je suis toujours partant pour une bonne dose d’adrénaline et de compétition amicale !
Que souhaitez-vous pour le territoire métropolitain dans les prochaines années ?
Je souhaite que le territoire métropolitain puisse offrir des milieux de vie d’une grande qualité pour tous. À partir de son domicile, chaque personne devrait pouvoir bénéficier d’un accès rapide et facile à des espaces verts des milieux naturels, des parcs, des sentiers, des terrains de sport, des installations de plein air, etc.
Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui aimerait travailler dans le domaine de l’environnement au sein d’un organisme comme le nôtre ?
Être en mode solution, savoir s’adapter et développer une vision transversale des enjeux. Il faut également être curieux, savoir collaborer avec divers acteurs et toujours chercher à innover.
Retour aux actualités
